8 mars 1944 en Haut-Quercy de Zan-Pierrou Del Palsou
Mars 1944. Sur les causses du Quercy, comme un peu partout en France, la résistance s’organise avec l’appui des alliés.
Dans la nuit du 8 mars les Anglais parachutent sur le causse de Carennac, des armes, de l’argent et un agent de liaison.
Des années plus tard, le fils de cet agent, tout jeune retraité des Télécoms anglaises, débarque à son tour dans ces confins du Quercy afin de tenter de retrouver les traces de ce père inconnu, que personne n’a plus revu depuis ce saut en parachute de la nuit du 8 mars 1944...
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Mars 1944. Sur les causses du Quercy, comme un peu partout en France, la résistance s’organise avec l’appui des alliés.
Dans la nuit du 8 mars les Anglais parachutent sur le causse de Carennac, des armes, de l’argent et un agent de liaison.
Des années plus tard, le fils de cet agent, tout jeune retraité des Télécoms anglaises, débarque à son tour dans ces confins du Quercy afin de tenter de retrouver les traces de ce père inconnu, que personne n’a plus revu depuis ce saut en parachute de la nuit du 8 mars 1944.
Les années sont passées, les traces se sont atténuées, les mémoires sont incertaines et les survivants de cette époque peu loquaces se font de plus en plus rares. La quête semble donc vouée à l’échec.
Pourtant tous ne voient pas d’un bon oeil l’arrivée de cet étranger, et cette enquête qui va bouleverser la communauté en mettant à jour de lourds secrets que d’aucuns pensaient enfouis à tout jamais…
Issu d'une longue lignée, au moins depuis Louis XIV, de Quercyno-Limousins par sa mère et Languedocienne par son père, Zan-Pierrou Del Palsou a été fonctionnaire de l'état pendant quarante ans (P.T.T, France Télécom puis Orange). Lors de la mobilisation de son père en 1939, il va vivre chez ses grands-parents, à Bétaille, jusqu'en 1945. Il restera très
attaché à ce village, où il réside désormais.
Jusqu’alors son activité littéraire s'était limitée à la parution d'articles, concernant le plus souvent l'histoire locale des nord Quercy, sud Limousin, et ouest de l’Auvergne, dans des revues à caractères littéraires, scientifiques, culturelles, comme "les Amis du pays de Saint-Céré", "la Terre et l'Encrier", la Société des Études du lot, le bulletin de la Corrèze…
C’est son grand-père, fortement impliqué dans la Résistance, qui lui a transmis le récit des évènements, que l’auteur a également vécu, mais avec les yeux et les oreilles d’un garçon de sept ans, qui donnent naissance à la première partie de ce roman.
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