La cité qui rêve de Pierre Le Coz
Suite à une séparation douloureuse, le narrateur part pour l’Inde dans l’espoir que le grouillement de ses foules, sa lumière et son exotisme, le soulageront de son mal. À Jaïsalmer, petite cité oubliée sur les confins indo-pakistanais, il va rencontrer son destin sous la forme de la beauté, de l’épouvante puis de l’extase opiacée.
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Suite à une séparation douloureuse, le narrateur part pour l’Inde dans l’espoir que le grouillement de ses foules, sa lumière et son exotisme, le soulageront de son mal. À Jaïsalmer, petite cité oubliée sur les confins indo-pakistanais, il va rencontrer son destin sous la forme de la beauté, de l’épouvante puis de l’extase opiacée. Avant qu’un événement imprévu ne l’arrache à ses fantômes et à ses fascinations.
Une « topo-fiction » qui promène son lecteur à travers le Rajasthan avant de lui faire découvrir l’étonnante citadelle de Jaïsalmer, la « Cité qui rêve », prise entre le souvenir de sa gloire passée et la tranquillité de son existence présente, à l’écart des grands flux de l’histoire.
Une histoire d’amitié aussi entre le narrateur de ce roman et Lal, jeune Intouchable facétieux et empli de ressources.
Pierre Le Coz: romancier et essayiste né en 1954 dans une famille originaire du Finistère. Ses premiers textes ont paru en 1993 dans la revue N.R.F. Il a depuis publié de nombreux ouvrages dont des romans, des récits de voyage et des essais. Son recueil L’autre versant du jour (Le Rocher, 2007) a obtenu le Prix Prométhée de la Nouvelle.
Après une existence essentiellement consacrée à l’écriture et au voyage (Maghreb, Afrique noire, Inde, etc.) il vit aujourd’hui retiré dans un village de Dordogne.
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